Comme chaque année, la FGTB fédérale publie son baromètre socio-économique 2018.
Objectifs ?
Décortiquer et analyser les données sociales et économiques, évaluer l’action gouvernementale et confronter les propos patronaux à la réalité des faits et données.
Et, le moins que l’on puisse dire, c’est que les différents constats dressés remettent radicalement en doute les déclarations enthousiastes du Premier ministre Charles Michel.
Outre une série d’indicateurs économiques ou sociaux issus de sources officielles multiples (BNB, OCDE, Commission européenne, Bureau du plan, etc…), le baromètre FGTB intègre également une série d’indicateurs qualitatifs relatifs à la qualité de vie des citoyens.
Les lecteurs y trouveront également des indicateurs sur la conciliation entre vie privée et vie professionnelle, le stress au travail, la précarité énergétique, ou encore la discrimination.
Le baromètre se subdivise en 5 chapitres : pouvoir d’achat, croissance et emplois, flexibilisation du travail, allocations sociales et changement climatique.
Pour chacune de ces thématiques, les services d’études de la FGTB fédérale se sont attelés à dresser le bilan. Et les différents constats qui en ressortent remettent donc radicalement en doute les déclarations enthousiastes et triomphalistes du Premier ministre Charles Michel.
Mais la FGTB ne se limite pas aux constats. Dans son baromètre, elle met également en exergue les points à améliorer et propose des alternatives justes, concrètes, réalistes et solidaires.
Pour en savoir plus, c’est ici : www.barometrefgtb.be